Pas de pesticide dans notre eau du robinet

Les pesticides agricoles de synthèse, connus comme reprotoxiques et cancérigènes, devraient être interdits à proximité des zones de captage de l’eau du robinet.

Cela semble évident et prudent mais ce n’est pourtant pas le cas partout, notamment en Bretagne où les lobbies agricoles ont le bras long.

Afin de soutenir cette démarche sanitaire d’intérêt général, nous relayons la pétition de plusieurs acteurs soucieux de la qualité de notre eau potable.

La validation du schéma d’aménagement et de gestion de l’eau (qui couvre six départements à cheval entre la Bretagne et les Pays-de-la-Loire) est proche. Il convient de peser pour limiter les produits toxiques dans notre eau et notre alimentation.

A vos claviers !

https://agir.greenvoice.fr/petitions/pas-de-pesticides-dans-nos-robinets

Concertation sur le polder de Lancieux, un rendez vous manqué

Cela avait bien commencé :
* un bel exposé des enjeux liés à la montée des eaux et au risque de rupture de la digue actuelle qui est en mauvais état et non entretenue,
* une volonté affichée de ne pas attendre la création accidentelle d’une brèche, comme ce fut le cas à Ploubalay,
* la promesse de la prise en compte de l’avis des lancieutins, sans mettre en avant le critère financier.

Plusieurs scénarios ont été élaborés, puis synthétisés en 3 options :
* conservatisme : reconstruire une digue (presque) au même endroit
* anticipation : prévoir de rendre à la mer les terrains les plus bas que le niveau de la mer
* intermédiaire : faire un ouvrage qui protège toutes les constructions menacées, le bas du golf et du camping du Villeu.

La règle annoncée dès le début de la concertation était claire : « c’est vous qui déciderez ».

Et puis, à la dernière réunion du 17 juillet, on apprend que les élus de la majorité ont décidé d’éliminer l’option de rendre à la mer tous les terrains qu’on lui a pris, car ce serait, disent-ils, trop compliqué, trop long et trop cher d’acquérir les constructions concernées sans pour autant avoir de précisions sur ces coûts.
Comment se fait-il que l’étude du dossier n’ait pas permis de s’en apercevoir plus tôt ?  Et pourquoi ne pas laisser la population s’exprimer sur cette option ?
Pourquoi ne pas avoir annoncé d’emblée, en janvier, que seules 2 options étaient soumises à la réflexion des lancieutins plutôt que de les laisser travailler sur les 5 ?

La consultation des lancieutins se limite donc à choisir entre 2 digues, l’une plus près de la mer et l’autre plus près des habitations, du golf et du camping.

L’élément essentiel pour choisir entre ces 2 digues est que celle de direction nord-sud qui remplacerait la digue de la Roche serait exposée à la houle. Donc, son coût de construction serait sensiblement plus élevé, le risque de rupture dans l’avenir nettement plus élevé.
La digue de 2° rang, de direction plutôt est-ouest serait protégée de la houle. Elle pourrait aussi être rehaussée plus facilement si cela s’avérait nécessaire dans l’avenir.

Dans les 2 cas, l’objectif est la protection des activités économiques et des maisons.
Dans les 2 cas, il convient d’étudier plus avant le risque d’inondation des maisons lors d’épisodes pluvieux importants (ex. : 1929). Au terme de cette étude, il faudra éventuellement envisager, comme cela a été mis en œuvre dans d’autres communes, d’aménager les habitations pour faire face au risque de submersion par la mer et l’eau de pluie : interdiction de chambres au rez-de-chaussée, obligation d’installer des Velux pour une éventuelle évacuation par le toit des maisons.
Dans ce cas, l’utilité de construction d’une digue n’en serait-elle pas réduite d’autant ?

Les conséquences du choix laissé à l’expression des citoyens et au vote des élus sont multiples et de nombreuses inconnues demeurent. Certaines ne seront levées qu’après les études complémentaires qui vont démarrer.

La modification du trait de côte, à Ploubalay, Saint Jacut ou Lancieux aura des conséquences possiblement importantes sur l’ensablement ou l’érosion d’autres parties de la baie. Une étude d’impact concertée entre les 3 communes (les 2 communautés de communes) serait nécessaire.
Dommage qu’elle ne soit pas envisagée. Idem pour les priorités dans les autres communes du littoral de la communauté de communes qui participeront au financement à Lancieux durant des années.

La perception des lancieutins sur l’option de restitution complète du polder à la mer était probablement le principal intérêt de cette consultation. Elle est malheureusement devenue un simulacre de concertation car les informations factuelles concernant le polder de Lancieux et les 2 digues envisagées n’ont été énoncées qu’à la toute dernière réunion.
Les autres réunions étaient seulement une sensibilisation au phénomène des polders en général et à la montée des eaux.

Globalement, il s’est donc agi d’un rendez-vous manqué.

Le club nautique de Lancieux devient une société privée sans contrôle municipal

Le club nautique de Lancieux devient une société privée et n’est plus obligé de suivre les prescriptions de la mairie

L’affaire est surprenante mais elle est pourtant bien réelle.

Rappel. Jusqu’à présent, l’ensemble des activités nautiques pratiquée à Lancieux ainsi que l’hébergement situé au centre du Frémur étaient gérés par une association loi 1901 : le Club Nautique de Lancieux.
Celui-ci, en partenariat avec la ville s’est développé de façon substantielle.

La mairie mettait à disposition l’ensemble des locaux municipaux nécessaires à ses activités (centre d’hébergement, centre d’activité nautique, nouveaux locaux rue des bois Talards) pour un tarif de location très favorable à l’association.

Depuis quelques temps, l’ensemble de ces activités donnant lieu à un chiffre d’affaire de plus en plus important, le statut associatif sans paiement de TVA est devenu impraticable. L’association a donc décidé de se transformer en société coopérative pour continuer ses activités. Soit !

Mais avant de valider cette transformation de statut, la mairie aurait dû lancer un appel d’offre ouvert en redéfinissant les prestations souhaitées, les tarifs relatifs aux activités nautiques, les loyers des locaux, etc..

Au lieu de cela, nous apprenons que le contrat passé avec l’association sera prolongé avec la société nouvelle jusqu’en 2037, sans aucune mise en concurrence.

Plus grave encore, tout en maintenant des tarifs de location de locaux très avantageux pour l’entreprise (25% environ des tarifs usuels) mais donc très défavorables aux finances municipales, la mairie a choisi de de supprimer toutes les missions et objectifs de service public concernant l’accueil et les activités pratiquées !

Voila qui pose quelques questions de perte de contrôle municipal, tant en termes de services qu’en termes financiers puisque, rappelons le, l’ensemble des investissements immobiliers pour les activités nautiques et les loyers très bas ont été financés par les impôts des Lancieutins.

Ces mini-loyers sans contrepartie ni objectifs devrait donc perdurer jusqu’en 2037 !

 

 

 

Compte rendu de l’atelier thématique « Démocratie locale »

Compte rendu de l’atelier « démocratie locale »

13 juin 2025

Cette rencontre, la dernière avant les vacances, est consacrée à la
« Démocratie participative » et scindée en 2 tables rondes.

  • Pourquoi et comment impliquer les habitants dans les projets municipaux ? (initiative de la mairie)
  • Comment susciter et accompagner des dynamiques citoyennes et locales compatibles avec le projet de l’équipe municipale ? (initiative des habitants).
    * NB. Par « compatibles », on envisage ici les dossiers qui ne sont « pas en opposition frontale » avec les orientations de la mairie et permettent d’envisager un aboutissement consensuel.
Contexte

* Les élus ont un rôle majeur pour la bonne gestion d’une commune mais ils ne savent évidemment pas tout sur l’ensemble des sujets qu’ils traitent durant leur mandat.

* Les habitants n’ont pas une vison complète de la gestion d’une ville ni l’obligation le pouvoir de prendre des décisions qui engagent la collectivité. Par leur nombre et leurs compétences variées, ils peuvent, si la majorité municipale le souhaite, participer efficacement au travail de préparation des dossiers d’une commune.

* Les élus restent décisionnaires (votes au Conseil municipal). Il s’agit d’entamer un processus avec pour objectif de s’approcher le plus possible de décisions consensuelles. La démocratie participative n’est pas la démocratie directe : les commissions de travail génèrent uniquement des avis.

* Il est important de distinguer la concertation, démarche ouverte autorisant les évolutions d’un dossier, et la quête de validation de choix bloqués en amont et non explicités (ce qui s’apparente à de la manipulation).

Avantages d’une approche participative

* Via des discussions, les citoyen/ne/s peuvent apporter aux élu(e)s leur expertise, leur vision du sujet et leur contrôle.

* Par l’apport des remarques (positives ou négatives) des habitants impliqués au service de l’intérêt général, les projets peuvent s’enrichir et s’améliorer.

* Le travail en réunions participe à l’information et à l’autoformation des habitants concernant le fonctionnement des collectivités dont les contraintes sont multiples.

* La perception de la complexité des processus limite la dérive simpliste (approche « yaka faut qu’on »).

* La démarche favorise l’engagement personnel et collectif au service de l’intérêt général, elle stimule la vie démocratique actuelle et future. Elle améliore la convivialité.

* Écouter les oppositions à un projet et tenter de comprendre leurs motivations dans le respect mutuel enrichit les débats

* L’animateur de ce travail collectif rend les différentes positions et les avis compréhensibles par tous.

Inconvénients d’une approche participative

* Un processus possiblement plus lent. Des réunions, des périodes d’information et de réflexion collectives, des comptes rendus à réaliser sont autant de temps à consacrer à la préparation et au suivi d’un dossier. Le temps nécessaire pour préparer un dossier entre quelques élus est bien moindre à celui qui sous-tend une approche plus collective donnant le sentiment de « perte de temps » en réunions de concertation. La qualité de préparation et l’appropriation par la population sont essentielles pour éviter les échecs ou les faux départs.
L’exemple du futur bâtiment de logements et local pour les personnels paramédicaux en atteste. Faute de travail collectif en amont, ce projet a été repris 3 fois et aura finalement pris 5 années de retard.

* Un apprentissage de la population est nécessaire surtout si rien de tel n’a été mené dans la commune auparavant. Cet apprentissage prend un peu de temps au démarrage, c’est aussi un investissement fructueux par la suite.

* Des déceptions et frustrations possibles en cas de décisions éloignées des attentes de certains participants : chacun ayant sa propre vision de l’idéal, un travail collaboratif ne peut éviter quelques déceptions.

Outils, mise en œuvre et propositions

* prop250613.1. Pour les dossiers importants, réunir des commissions extra municipales en amont des commissions et conseils municipaux.

* prop250613.2. Recenser préalablement les compétences des habitants afin de pouvoir, le cas échéant, les solliciter sur un sujet particulier.

* prop250613.3. Former les habitants aux thématiques sur lesquels ils devront travailler, puis se prononcer.

* prop250613.4. Réunir un conseil de quartier concernant un sujet touchant particulièrement un quartier.

* prop250613.5. Encourager et faciliter la rencontre avec les élus dans la commune (déambulation dans les quartiers, permanences en mairie, fréquentations des lieux publics, etc).

* Prop250613.6. Octroyer des budgets participatifs par quartier et/ou par catégorie. Exemple : projets pour les jeunes.

* Prop250613.7. Consulter les habitants en amont des choix municipaux importants sous la forme la plus appropriée (sondage en ligne, referendum, boitage papier etc.). Cet avis collectif reste indicatif.

* Prop250613.8. Évaluer le bon fonctionnement de la démarche via plusieurs indicateurs :

  • satisfaction globale des participants lors des réunions
  • évolution du nombre de participants
  • respect du calendrier et des étapes annoncées
  • évolution du dossier suite aux rencontres

* Prop250613.9. Améliorer la communication de la mairie

  • panneaux d’affichage
  • affiches dans les commerces
  • site Internet à jour et complet et éventuels réseaux sociaux supplémentaires (Instagram ?)
  • liste non exhaustive

* Prop250613.10. Réaliser, si possible, des expérimentations afin de tester les idées

* Prop250613.11. Lancer des appels à projets pour les jeunes afin de les considérer et de les impliquer dans la vie locale.

* Prop250613.12. Initier un conseil des jeunes pour un mandat plutôt court afin de ne pas perdre les représentants dans la durée, ou simplement inviter tous les jeunes motivés et disponibles le jour J.

* Prop250613.13. Monter des réunions publiques régulières.

* Prop250613.14. Former les élus à la prise de parole en public et à la tolérance à l’égard des remarques.

* Prop250613.15. Retransmettre les conseils municipaux pour permettre à davantage de personnes d’assister aux discussion et décisions des élus

* Prop250613.16. Définir préalablement aux concertations le processus de travail et de décision, explicité et suivi jusqu’au bout du projet (sans règle du jeu claire, le processus pourrait s’enliser dans des discussions sans fin).

* Prop250613.17. Créer une boite à idées en ligne et physique permettant aux habitants de formuler des propositions à tout moment. En faire un compte rendu ainsi que des suites à la fin des conseils municipaux. Répondre à chacun de ceux qui les ont formulés.

 

Compte rendu de l’atelier thématique « L’urbanisme à Lancieux »

Compte rendu de l’atelier thématique de Lancieux Citoyenne.

L’Urbanisme à Lancieux

8 mai 2025

Introduction

L’organisation des constructions, tout comme la préservation des espaces verts ou agricoles, doit être pensée dans la longue durée. Paradoxalement, ces choix d’urbanisme ont un impact immédiat et quotidien sur notre appréhension de la qualité de vie en ville.

Après un rappel rapide des règlements généraux supervisant les sujets liés à l’urbanisme, il nous est proposé de réfléchir aux enjeux et pistes de solutions autour de trois thèmes intimement liés :

  • Comment densifier en conservant ou améliorant la qualité de vie ?
  • Quelles règles esthétiques maintenir ou modifier (toitures, clôtures etc.) ?
  • Quelle organisation idéale de l’espace au service des habitants (spécificité des quartiers, liaisons entre quartiers, etc.) ?

Le Plan Local de l’Urbanisme (PLU), l’un des outils majeurs de ce sujet, quoi que jugé souvent trop complexe, permet la mise en œuvre de ces dossiers.

Densifier en conservant ou améliorant la qualité de vie

Contexte

Avec ou sans texte législatif limitant la consommation de terres naturelles ou agricoles (projet de loi Zéro Artificialisation Net), la protection de ces terres précieuses pour l’avenir est indispensable.
A contre courant de cette démarche, une des dernières modifications du PLU de Lancieux a réduit la hauteur maximum des constructions en centre ville, rendant ainsi les parcelles moins denses et plus coûteuses par unité de surface construite.

La densité des constructions n’est pas synonyme de « barre d’immeubles » et peut parfaitement être esthétique, agréable à vivre et respectueuse de l’environnement (voir, par exemple, l’éco-quartier Vauban à Fribourg)

Propositions

Prop250508.1. Sensibiliser les habitants aux enjeux de la densification

Prop250508.2. Adapter les hauteurs maximum par quartier pour favoriser la densification là où elle est acceptable (rappel : en centre ville, la mairie actuelle a réduit d’un étage la hauteur maximum des bâtiments par rapport au PLU de 2021, ce qui freine l’accès au logement et surenchéri les coûts de construction ou de rénovation. Faciliter la construction dans des « dents creuses », des parcelles déjà entourées de constructions.

Prop250508.3. Lutter contre l’idée que la construction de petits immeubles est impossible à Lancieux ou synonyme de barres HLM.

Prop250508.4. Définir une zone accessible à l’habitat réversible (projet porté, entre autres, par l’association ‘hameaux léger’ https://hameaux-legers.org/) afin de créer de petites constructions, sans fondations, sans impact durable sur l’environnement et les écosystèmes.

Prop250508.5. Favoriser la découpe des grandes parcelles pour permettre la création de nouvelles constructions sans grignoter sur les zones naturelles ou agricoles.

Prop250508.6. Sensibiliser les habitants aux évolutions réglementaires contre le bétonnage des sols agricoles et naturels, évolutions qui impliquent une densification modérée ou, si rien n’est fait, un déclin possible de la commune

Impact de l’assainissement sur les nouvelles constructions

Contexte

La station d’épuration de Ploubalay-Lancieux est à son maximum de capacité de traitement des eaux usées. En conséquence, la préfecture neutralise les nouvelles demandes de permis de construire tant que cette capacité de traitement n’est pas augmentée.

Propositions

Prop250508.7. Agir avec les acteurs concernés (Beaussais sur mer, Préfecture des côtes d’Armor, Communautés de communes ) et avec les contraintes physiques du bassin versant pour traiter ce dossier dans la durée.

Impact des résidences louées en AirBnb

Contexte

La présence importante de résidences louées en mode temporaire pénalise la location à l’année de logements à destination de jeunes familles sur la commune.

Propositions

Prop250508.8. Tenter de dresser un bilan précis de la situation et, selon le cas, de limiter cet usage à un volume « raisonnable », en utilisant les leviers législatifs disponibles.

Impact des résidences secondaires

Contexte

La présence de résidences secondaire en bord de mer est habituelle et ne pose pas de problème de principe. En revanche, avec déjà environ 2/3 de résidences secondaires, la question de l’évolution de cette tendance se pose à Lancieux sachant que toute nouvelle parcelle dédiée à cette occupation ponctuelle réduira l’offre à destination des jeunes familles souhaitant s’installer à l’année.

Propositions

Prop250508.9. Réserver, via le PLU, des zones où les nouveaux programmes de construction seront réservés aux résidents principaux (Article L151-14-1 du code de l’urbanisme)

Quelles règles esthétiques maintenir ou modifier (toitures, clôtures etc.) ?

Contexte

Les débats du jour attestent que l’esthétisme en matière d’urbanisme est une notion totalement subjective et qu’aucun choix ne fait l’unanimité (exemple des toits plats). Dès lors, il s’agit de naviguer subtilement entre deux extrêmes : un règlement ultra précis fixant l’intégralité des paramètres visuels ou un laisser faire total.
Plusieurs remarques portent sur la difficulté ou le manque de contrôle réel des règles fixées et de choix esthétiques imposés par les services de l’urbanisme alors même qu’aucune règle ne les sous-tend.
L’aspect des clôtures, partie la plus visible depuis l’espace urbain, est souvent évoqué.
Les avis du service des architectes des bâtiments de France (ABF) peuvent être impactants à Lancieux mais, quand ils ne sont pas obligatoires, servent parfois de « mauvaise excuse » à la mairie pour bloquer certains projets (exemple des panneaux solaires en toiture).
Rappel : prescription des ABF dans les 100 m du monument historique, simple recommandation entre 100 et 500m.

Propositions

Prop250508.10. La mairie doit être vigilante aux impacts financiers et fonctionnels de certaines exigences esthétiques (exemple : un portail coulissant interdit a entraîné, pour une personne à mobilité réduite, un projet inadapté et coûteux).

Prop250508.11. La mairie de Lancieux doit donner l’exemple par un mobilier urbain homogène et relativement neutre, harmonieux dans les couleurs et les matières (bacs à fleurs, bancs, etc)

Prop250508.12. Assurer un suivi et un contrôle des règles fixées.

Prop250508.13. Accepter les demandes d’installations de panneaux solaires sur les toitures et, en cas de difficulté, faire appel à une association spécialisée pour une médiation.

Prop250508.14. Protéger les haies végétales existantes, encourager de nouvelles haies

Prop250508.15. Bien accompagner les projets des habitants. Une des missions du/de la salariée de l’urbanisme est d’aider les habitants dans leurs projets. Si nécessaire, il-elle se renseigne auprès de la Communauté de communes qui traite le dossier puis répond.

Prop250508.16. Réaliser une explication simplifiée du PLU et mettre en avant quelques recommandations importantes (orientation, isolation, gestion de l’eau de pluie etc..)

Prop250508.17. Permettre un accès simple aux recommandations des règles esthétiques, les plus minimales et claires possibles.

 

 

* https://fr.city-facts.com/vauban-freiburg/population